LES MARQUES DU SORT

Les marques du sort

La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau taciturne où la rond semblait affirmer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une représentation. Une vitesse inconnue modela

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La nid ensevelie

La cabane tremblait par-dessous la pression du vent, n'importe quel rafale s’engouffrant à travers les interstices des planches vieillies. Le étranger pénétrait tout, s’infiltrant dans les moindres recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé censées lui, continuait d’écrire unique, traçant des phra

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Les verbe du jardin suspendu

La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la univers semblait dénuder. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illusion. Une cadence inconnue modelait la boue, a

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Le petits cailloux brisé

La chaleur de Babylone pesait sur les Jardins suspendus, enveloppant les terrasses en pierre d’une lumière doré. Entre les colonnes recouvertes de lierre et les bassins reflétant le ciel, un esclave jardinier s’agenouillait au bornage d’un réservoir d’eau, nettoyant la boule qui s’y était accumulée. Il plongea les soi dans la boue,

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Le présage interdit

le temple s’élevait au-dessus de la ville d’Azatlán, baigné par la éclaircissement incandescente du soleil. Du sommet des pyramides, les prêtres observaient le microcosme en contrebas, interprétant les planètes laissés par les dieux dans le arnaque des oiseaux et les ombrages portées sur la pierre. Mais celui qui, plus que tous, déten

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